Dans son livre Sunday, Monday, Happy Days, Sarah Allart nous invite à reconsidérer l’échec. La culture française est particulièrement marquée par la peur de l’échec et une appréhension à la prise de risque. Or, en s’interdisant la prise de risque par peur de l’échec, on s’interdit aussi d’oser, d’innover, d’apprendre, de grandir. Nelson Mandela aurait dit cette phrase célèbre : Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends.
15 février 2019
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