Des études récentes ont mis en évidence l’existence de fausses croyances liées au fonctionnement du cerveau au sein de la population enseignante, souvent appelées « neuromythes » (Dekker et al., 2012 ; Howard-Jones, 2014). En plus de classifier parfois les élèves dans des catégories réductrices, ces croyances erronées peuvent encourager les enseignants, les écoles et les décideurs politiques à investir du temps, de l’énergie et des ressources financières pour mettre en place différentes pratiques pédagogiques n’étant pas supportées par la recherche scientifique (Pasquinelli, 2012)
25 janvier 2019
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